Voilà un peu plus de deux mois que Camille et Nicolas Santoro ont officialisé leur rupture. Les stars de Familles nombreuses, la vie en XXL (TF1) ont ainsi mis un point final à leur longue histoire d'amour. Néanmoins, ils assurent tous deux être restés en très bons termes. À tel point qu'ils ont mis en place une garde alternée originale pour leurs six enfants, Alessio, Nino, Emie, les jumeaux Mattia et Maé et la petite dernière Alba.
Au début du mois de janvier, Camille Santoro expliquait ne plus habiter avec son ex-mari mais, pour autant, elle n'a pas vraiment déserté le foyer familial. C'est ce qu'elle explique vendredi 12 janvier en story Instagram, à la suite de nombreuses questions sur le sujet. "Avec Nico, on a décidé de passer chacun autant de temps auprès de nos enfants, donc on fait une garde alternée, une semaine, une semaine. Notre maison n'est pas en vente, peut être que c'est temporaire mais en tout cas, actuellement nos enfants restent dans la maison. Je suis dans la maison avec eux sur ma semaine, puis je pars et Nico prend le relais".
Il s'agit pour les deux anciens amoureux de la meilleure solution pour leur grande tribu. "Il faut savoir qu'ils sont six et qu'il aurait fallu vendre rapidement la maison, trouver un logement qui puisse tous les accueillir avec moi et un avec Nico. On voulait les déstabiliser le moins possible et qu'ils puissent garder un maximum de repères. Donc pour l'instant on fonctionne comme ça", a-t-elle ajouté.
Si elle est sereine avec ce compromis, quitter ses enfants est toujours un véritable crève-coeur pour Camille Santoro. "La séparation avec les enfants, c'est quelque chose de très sensible pour moi, de très douloureux. Je n'avais jamais quitté mes enfants avant ça. Ça reste, je pense là-dedans, le plus difficile mais j'essaie d'occuper mes semaines, de travailler et de faire beaucoup de choses pour que le temps passe", a-t-elle rapporté. Maman avant tout, la jolie blonde a toutefois avoué ne pas pouvoir s'empêcher de rendre visite à ses enfants lorsqu'ils sont gardés par Nicolas. "J'y passe quand même une fois par jour".